| Invité a commenté le 20.08.10 20:35 | | |
| ♥ Watashi wa Miyake Aki desu.
« I never meant to hurt the ones who care »
Ω SURNOM : Beauté - Miya - Aki. Ω AGE : Seize. Ω SEXE : Masculin. Ω DATE ANNIVERSAIRE : 13 Octobre. Ω ORIENTATION : [] HÉTÉRO [] HOMO [❤] BI
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☆ Son caractère;
Le caractère que je possède est proche de celui d’un chat. Pourquoi? Parce qu’une journée je peux être très indépendant, alors que le lendemain je serais très affectueux. Ma liberté est quelque chose que j’aime bien, j’aime rarement quand les autres m’ordonnes quelques choses ou m’oblige à faire un truc que je n’aime pas. Bien sur, il y a des exceptions à la règle. Quand les professeurs me demande quelque chose, généralement j’obéis sans le moindre problème, mais c’est surtout dans la façon de le demander. En temps normal, je suis assez docile, un autre point qui est proche des chats, car se sont les animaux les plus respectueux des autres et être docile semble dans leurs gênes ainsi donc… Le côtés indépendant viens surement de cette envie de liberté, mais je sais aussi être dépendant d’une personne ou de plusieurs, selon la vision que je possède de ceux-ci. Mes amis les plus proches peuvent devenir comme une drogue à mes yeux, fidèle est toujours loyale, je le suis avec qu’eux seulement. Pas question que j’offre mon respect ou ma total confiance à un parfait inconnu. Autre point en commun avec les félins, possible oui, car ils sont tout aussi fidèle. Avec mes ami(e)s, je suis aussi très affectueux, voir même dépendant de leurs affections. Pour moi un câlin ou une accolade qui dure plus de cinq minutes, ne me déplait pas du tout, même qu’il est possible que mon corps en redemande. J’adore la chaleur des autres et j’aime voir que nos liens sont assez puissant pour se permettre ce genre de petite chose. Par contre en amour c’est différent, au tout dépend je serais très indépendant, ma bulle sera primordiale pour moi dans les début, un peu comme avec les amitiés. Je dois voir comment est la personne en ma présence, voir et savoir un peu comment ceux-ci sont en temps normal ; pour que ma confiance sois totalement séduite. En temps normale, le temps qui s’écoule avant que cette confiance sois gagner est d’une semaine, si la personne veut bien s’ouvrir également en ma présence, car je ne suis pas quelqu’un qui obligera les autres à venir vers moi si jamais l’envie est totalement le contraire. Après cette phase de l’indépendance, vient le moment ou ma jalousie se forme, ma possessivité grandit et ma crainte s’éveille. Il n’est jamais facile pour moi d’être amoureux car ma côté possessive prends une ampleur dé-mesurer, beaucoup de mes copains et mes copines (j’avoue, je ne suis pas le meilleur des tombeurs; un copain et une copine a mon actif seulement), m’ont beaucoup reprocher ce côté de moi, côté que moi-même je n’aime pas vraiment car il est difficile à contrôler. J’aime. Et quand j’aime cela est sincère et réaliste. J’apprécie pas que les gens me jugent ou encore me critique en pensant que tout ce que je fais est d’être détestable, car ce n’est pas vrai. Puisque, comme les chatons mon caractère sait être difficile et détestable. Bien que je n’aime pas être méchant, mon côté grognon me pousse à être grincheux, sarcastique et boudeur, sans pour autant que cela dépasse l’exagération, en temps normal une caresse et voilà que je me calme et que j’écoute les pour et les contres qu’on a à me faire comprendre. Vous devez surement vous demandez pourquoi je me compare autant avec un chaton, c’est surtout parce que ma mère ma toujours vue ainsi, m’appelant même chaton dans l’époque ou ses souvenirs ne déraillait pas, j’ai trouvé la comparaison mignonne et maintenant dès qu’il s’agit de parler de moi, c’est une façon plus facile pour les autres d’y voir plus clair. Certes, ce ne sont pas tous les chats qui possède un caractère comme le mien, mais j’aime bien l’image que dégage cette hypothèse, puisque je suis doux, affectueux, indépendant et fier en même temps. | ☆ Son apparence;
Si du côté caractère je ressembles à un chat, il n’en ai pas moins que physiquement, aussi. Bon, je ne repartirais pas dans les étages du « pourquoi », je parlerais simplement du fait que je ne suis pas l’un des garçons les plus « musclés » de l’école et encore. Mon corps est plutôt fêle, svelte et voir même menu. Je ne suis pas très grand non plus, en réalité je dois faire un bon ; 1m70, d’accord ce n’est pas très petit vous me direz, mais ce n’est pas non plus très grand pour un garçon qui, en temps normal à seize ans s’approche du 1m75. Quand même, je ne suis pas a plaindre, ce n’est pas comme ci j’avais une taille inférieur et c’est parfait comme ça. Juste dans la moitié de la chose, pourquoi pas. Si ma grandeur n’est pas un problème a mes yeux, mon poids par contre… Les gens quand ils m’observent pour la première fois, doivent surement croire que je manque de nutrition, que je ne mange probablement pas à ma faim. Un jour ma propre grand-mère à cru que ma mère oubliait de me nourrir. Par la suite, mon père a cru bon m’inscrire pour que je vois un psychologue parce qu’il pensait que j’avais développer une manie, une mauvaise même ; l’anorexie. Or, ce n’est pas le cas et même si beaucoup de personne aimerait avoir le même « don » que moi, ce n’est pas toujours cool. Car même si je mange comme le plus gros des cochons de cette planète, mon corps restera toujours le même. Oh, j’entends déjà les commentaires des filles qui me disent : Tu en as de la chance. Oui et non, car comme je le disais un peu plus haut, involontairement cela amène quelques problèmes. Mon corps n’étant donc pas d’un poids « santé » comme l’ont dit chez les médecins, les gens par moment semble croire que je suis sois trop fragile, sois tout simplement malade. Si vous voyez mes poignets, tout frêle, menu et voir même … Les garçons plus baraqué que moi, peuvent facilement faire trois fois le tour de mon poignet (bon, j’exagère un peu. Disons plutôt ; deux fois). Mon cou est tout aussi frêle que le reste de mon corps et ne parlons même pas de mes jambes, cuisses … C’est minable, mais quand même. J’aime bien mon apparence physique, puisqu’il y a chez moi des choses que j’adore. Comme par exemple, prenons ma longue chevelure que je refuse de coupé depuis l’âge de 10 ans. Il est hors de question qu’une paire de ciseau s’approche de ma tête et surtout de mes cheveux. J’ignore pourquoi j’adore cette façon d’avoir les cheveux long, mais c’est devenu une vraie addiction. Mes cheveux sont ma fierté, tout comme mes mains qui, apparemment pour un musicien ; son étrangement belle. La couleur de mes yeux est aussi quelque chose que j’aime chez moi, une couleur que l’ont vois rarement chez les gens ; Bleu nuit, bleu océan profond. Par moment, les gens prétendent voir une nuit étoilée quand ils posent leur regard dans le mien, ce qui ma fait beaucoup sourire la première fois qu’on me l’a dit, mais dans un sens ; ce n’est pas idiot. Le fait que mon teint sois beaucoup plus pâle que la normal n’aide surement pas non plus les gens à croire que je suis en parfaite santé (ce qui est le cas, je tiens quand même à le souligné). Car oui, avec ma chevelure noir et mes yeux bleu foncé, il est difficile de ne pas voir que je suis … Un tantinet blanc de la peau. Ironique pour une personne asiatique. Mais c’est ce que j’aime chez moi. Sinon, je ne vois pas trop quoi rajoutés sur moi, je possède un tatouage que personne ne verra probablement… Puisqu’il est quand même bien cacher sur la partie de mon anatomie. Mon style vestimentaire est très simple aussi ; t-shirt, jeans, pantalon court, short, pantalon de sport ou encore gros pull trop grand pour moi, mais Ô combien confortable. Oui, on pourrait dire que mon physique est proche de celui d’un félin, sans vraiment l’être à la fois. |
♥ Ses petits secrets bien gardés... Ou pas. Ω SA COULEUR : Gris Mauve. Ω SA CHANSON : Danger Line. Ω SES SIGNES PARTICULIERS : Ses long cheveux. Ω SON PÉCHÉ : Luxure. | Ω SON METS : Ramen. Ω SON GROUPE SANGUIN : O+. Ω SON SIGNE ASTRO : Balance. Ω SA PHOBIE : L'eau. | Ω SON PORTE-BONHEUR : Son Violon. Ω SON PASSE-TEMPS : Écrire - Jouer du Violon. Ω SON ANIMAL : Chat du Bengale. Ω SON RÊVE : La guérison de sa mère. |
♥ Son passé. C’est dans les années 1992 que le jeune Aki vit le jour pour la toute première fois. L’ambiance n’était que des plus palpable dans le couloir de l’hôpital, la jeune femme qui souffrait pendant qu’elle tentait de créer le miracle de la vie, venait tout juste d’envoyer son mari en dehors de la chambre, hurlant qu’elle lui ferait payer pour les douleurs intense et pourtant, ce n’était guère le premier enfant de la famille Miyake. En effet, 4 ans plus tôt la jeune femme et le jeune homme avait été parent pour la toute première fois d’un garçon également. Le prénom d’Aki fut d’abord et avant tout choisi parce que les médecins avait prédit une petite fille, la deuxième raison était tout simplement pour la mois et la signification du nom ; Automne. Comme c’était le mois d’Octobre, ce prénom collait totalement, malheureusement – ou pas du tout – la jeune fille remis au monde un autre garçon, ce dernier souriant et observant les gens autour de lui avec ses grand perle beauté. Il n’en fallu pas plus pour que les parents et même le grand frère décident quand même d’adopté le prénom d’Aki. C’est donc ainsi que le jeune Aki Miyake fit son entré dans le monde ; pendant une journée d’automne ensoleillé, un après midi ou les rires et les pleures de joies transperçait les murs de l’hôpital à Tokyo. L’accouchement se passa donc sans aucun problème et la petite famille semblaient des plus heureuse d’avoir un nouveau membre. Les rires du petit Aki remplissait l’hôpital à tout les jours. Les grands parents venaient à chaque minutes rendre visite au petit dernier de la famille, amenant avec eux Shigeki, le grand frère qui, bien qu’il n’avait que quatre ans, s’était très attacher a son petit frère. L’amour remplissait toujours cette chambre, jusqu’à ce qu’il fut temps de partir. +++ La vie dans la famille Miyake restait pratiquement la même. Pendant quelques années, l’ambiance pouvait sembler tendu ; entre le paternel qui rentrait du boulot que très rarement ou que très tard, la maman devait faire en sorte d’être autant présente pour Shigeki que le petit Aki. Heureusement, l’aide de la grand-mère maternel ou paternel était fréquente et bien apprécier. Rendant ainsi donc l’ambiance beaucoup plus drôle, amusante même puisqu’à tout les jours des activités avait lieu dans la famille. Sortie au parc, sortie dans les magasins et boutique de vêtement ou encore les parc d’attraction et les Zoo. Ce dont le jeune Aki adorait par-dessus tout, puisque les Zoo était le lieu de rêve pour voir des animaux qu’il ne pouvait avoir ; tel un tigre ou encore un lion, heureusement les peluches existait pour cela, facilité les rêves impossibles à réalisé dans ce domaine. Beaucoup plus vieux maintenant, tout comme son grand frère, le jeune homme pouvait comprendre certaines choses, comme pourquoi le « papa » n’était pratiquement jamais à la maison et pourquoi c’était les mamy ou les papy qui venait prendre soins d’eux. Il ne pouvait pas dire qu’il manquait de quoi que se sois. Son père avait un boulot assez intéressant niveau du porte monnaie, donc dès qu’il avait besoin d’un petit quelque chose sans exagération, la maman leur offrait avec plaisir, même le père quand celui-ci trouvait le temps de venir les voir entre les voyages à l’étranger ou les moments plus intenses au boulot. Il fallait l’admettre, la mère Aikyo était une femme très douce et toujours à l’écoute des demandes que les gens lui faisais part. La mère ne travaillait pas vraiment, mais dans le quartier elle se retrouvait à être une vraie perle d’aide pour les voisins qui avaient un problème quelconque. Les gens trouvaient drôle de voir une femme aussi douce et fragile mettre aux mondes des enfants, puisque sa silhouette laissant croire que même le plus petit des coups de vent pourrait l’emporter bien au loin. Pourtant, elle avait trouvée la force de créer le miracle de la vie et fallait l’admettre ce n’était que pour le mieux. Aki et Shigeki étaient deux vrais perle et personnes n’avaient rien à redire sur ceux-ci. Le papa, un homme très respectable dans le quartier ne créait aucune vague de critique. Même si certains trouvaient les absences étranges, tous se tenait pour dire que jamais cette homme n’aurait pu avoir une aventure avec une autre que la belle Aikyo. Et cela était très vrai. Menteur et cachotier sur son métier, l’homme restait quand même très fidèle à sa femme et surtout sa famille. Cette famille possédait des terres, mais vivait dans une maison – un peu plus spacieuse que celle du quartier, mais qui restait banal -, gardait un esprit très banal et ne se prenant pas pour des gens qu’ils n’étaient guère. Tous s’entendait réellement pour dire que cette famille méritait le bonheur et la joie qu’ils vivaient tous, puisque jamais était présent l’un pour l’autre. Réellement présent, et ceux qui croyait que le père se foutait bien de sa famille, fut détrompés rapidement la journée du 28 Janvier 1997. L’événement qui se produisit cette année là donna des frissons dans le dos à toute la famille Miyake. Jamais personne n’aurait cru qu’une histoire comme celle-ci allait se produire. La neige tombait lentement sur le quartier, laissant les flocons blanc transpercer le ciel sombre de la nuit qui tombait et prenait place sur le pays. Alors que les enfants se trouvait tout deux dans le salon, écoutant les comptes pour Noël – bien que celui-ci déjà passer -, la mère figea dans le couloir. Les minutes qui s’écoulèrent furent aussi lente qu’une journée de pluie. Elle qui tenait les assiettes fraichement laver, les laissa tomber sur le sol dans un fracas énorme, si bruyant que même la femme de ménage sursauta, accourant vers sa jeune maitresse afin de savoir si celle-ci allait bien. Aki n’avait que 5 ans certes, mais la scène de sa mère qui tombe vers le sol, les yeux révulser et les spasmes qui la prirent violemment, lui resta graver dans sa mémoire pour le restant de ses jours. Il avait figé là, les yeux grand ouvert, la main de son frère qui créait une pression sur son épaule ne vint même pas le sortir de là. Totalement hypnotisé par la panique des gens autour de lui, Shigeki fut donc dans l’obligeance de lui mettre une baffe afin de lui prendre la main et de l’amener dans leurs chambres. Une heure plus tard, quand Kazushi arriva enfin la panique pris une ampleur encore plus désastreuse. Non seulement Aikyo venait de reprendre conscience, mais elle hurlait dans la cuisine. Non pas de douleur, mais qu’une grande panique, celle-ci ne semblait plus faire la différence entre ce qu’elle connaissait et ce qu’elle ne connaissait plus. Son mari était devenu un inconnu et elle lui hurlait de sortir, refusant totalement d’écouter les gens qui l’entourait et pourtant, ceux-ci n’était nul autre que les parents de celle-ci et son propre mari. L’ambiance ne changea guère quand Kazushi vint chercher les deux garçons, l’homme retenant ses larmes avec une telle force, mais Aki pouvait bien voir que ce dernier souffrait. Qui aurait pu croire que la belle et douce Aikyo perdrait la mémoire aussi soudainement. Malheureusement, même la présence de Shigeki ne sut faire revenir la mémoire de celle-ci. Elle n’avait fait que reculer d’un pas en larmes, hurlant qu’elle ne connaissait aucune personne présente dans cette pièce, ni même le médecin de famille qui avait toujours suivit cette dernière depuis toute petite jusqu’à la naissance du petit dernier de la famille. Le calme ne vint qu’une fois qu’elle posa les yeux sur le jeune Aki, perplexe et silencieuse pour un moment, elle s’accroupit et tendit la main vers ce dernier. Quelque chose semblait s’être allumer dans son esprit et le seul mot qui lui fut capable de dire en surpris plus d’un ; « Chaton ». Ce surnom avait toujours fait partie de leur quotidien, c’était ainsi qu’elle appelait le jeune homme dès qu’elle avait quelque chose à lui demander. Probablement que cela était dut au long cheveux du jeune homme et aux deux perles qu’il avait. Mais la jeune femme avait toujours été formelle sur le sujet ; Aki était son petit chaton. Une fois le surnom sortit, la jeune femme retomba dans les pommes, sous l’étonnant de tous. C’est n’est qu’un mois plus tard que le résulta indiqua qu’Aikyo perdait la mémoire par moment. Parfois elle pouvait la retrouvée et être la même femme qu’avant, mais souvent elle perdait des bouts, elle oubliait l’importance des gens présent autour d’elle, allant du mari au premier enfant, passant par sa propre mère et père. Cependant, un seul semblait échapper à ces pertes de mémoire et c’était Aki. Bien que des plus mal à l’aise face à tout ceci, Shigeki et Kazushi voyait en cela un certain soulagement plutôt que de la jalousie. Jamais ils n’en voudraient au jeune homme qui savait garder la femme de leur vie toujours présente dans cette maison, car certes si Aikyo n’avait toujours pas fut la maison malgré les nombreux inconnus présent dans celle-ci – a ses yeux – c’était grâce à son seul fils unique ; Aki. +++ Les années passèrent et la routine continuait. Les pertes de mémoire d’Aikyo furent toujours présent mais beaucoup moins fréquent, le médecin prévoyait une perte de mémoire fatal dans les quelques années a venir, ce qui avait beaucoup affecter la famille, surtout Aki qui avait cru toujours être le miracle de sa mère, mais la soirée ou elle avait aussi perdu tout souvenir du jeune homme lui avait prouver que maintenant, la maladie avait pris trop de puissance et d’ampleur pour lui permettre de vivre dans un rêve. Ce cauchemar avait eut lieu une soirée après son cours de Violon, la femme attendait le jeune homme dans le couloir, mais frapper par sa maladie elle s’était enfuit en hurlant qu’elle ignorait pourquoi elle se retrouvait dans cette école. Aki réussi toute fois à calmer sa mère qui le prenait pour un bon samaritain qui l’aider simplement a retrouver son chemin. Pas besoin de dire que cette nuit là, le jeune Aki avait passer une bonne partie dans les bras de son grand frère, vivant maintenant ce que ce dernier avait vécu des années plus tôt, sauf que là c’était la scène inverse. Aki qui avait besoin des bras de son ainé et non l’ainé qui avait besoin des bras de son cadet. La douleur était présente, mais dès le lendemain la jeune femme avait appeler le jeune homme par son éternel surnom, ce qui lui avait réchauffé le cœur. Bien sur, encore une fois il fut le seul capable d’un tel exploie. Cependant, le plus surprenant dans tout ceci fut le talent du père pour toujours regagné le cœur de sa douce et de vivre à chaque fois une « nouvelle » histoire d’amour avec celle-ci et Shigeki n’était pas en reste puisqu’elle le considérait maintenant comme son propre fils, après avoir cru Kazushi qui lui disait toujours à chaque fois que ce jeune homme était son enfant à lui. L’ambiance n’avait guère changer, bien que cette fois… Quelque chose clochait tout de même dans l’air. L’homme revenait de moins en moins à la maison, laissant les deux garçons aux soins des majordomes ou des servantes – les grands parents ayant passer par l’autre monde depuis deux ans – ainsi que leur mère. Bien sur, il prétendait avoir beaucoup de travaille, mais quelque chose poussait Shigeki à croire l’inverse. Malheureusement, difficile de vouloir en savoir plus quand votre père n’est jamais dans la ville et toujours ailleurs dans le pays. Mais le jeune homme promis a Aki de trouver des réponses à leur interrogation. Réponse qui ne tarda pas à venir involontairement quand, pendant une nuit d’orage, des hommes enfoncèrent la porte en chamboulant tout dans la maison, hurlant avec plaisir des insultes a propos de Kazushi. C’est d’ailleurs Shigeki qui descendit au rez-de-chaussée sous les négations d’Aikyo et d’Aki, mais rien a faire celui-ci voulait affronter les hommes en costard, certains plus grands, certains chauves et tout de même baraqué. Ils se moquèrent tous du jeune homme, mais celui-ci resta quand même interdit, un petit sourire sur le visage en remontant ses lunettes avec l’aide de son index. - Veuillez m’excuser. Mais la personne que vous cherchez n’est pas dans cette maison pour l’instant. S’il est possible pour moi de faire un message, n’hésitez surtout pas. Je sais un peu ce que vous recherchez pour lui. - Tu sais ça, le microbe ? J’en doute vois-tu. Des éclats de rire se fit entendre dans la maison, les hommes semblaient prendre un réel plaisir à jouer les malins, d’autant plus que certains venait de remarquer la présence d’Aki et d’Aikyo un peu plus haut dans les escaliers. D’ailleurs, ce détail n’échappa pas au jeune Shige, qui sourit et fit un pas de côté, tendant le bras gauche. Son regard qui fut interdit pendant l’échange changea en démontrant une haine sans vergeure sur les hommes. - J’ignore ce à quoi vous pensez là tout de suite. Mais un pas de plus vers les escaliers et je serais dans l’obligeance de vous battre à mort. Des paroles bien clair. Une voix bien audible et très autoritaire. Voilà comment le jeune homme avait mit en place son avertissement envers les hommes qui se trouvaient toujours devant lui et qui s’exclamait dans de grand rire bien gras. Bien sur, Aki savait parfaitement que son frère connaissait divers arts-martiaux et le maniement de l’épée, alors la peur commençait sincèrement à prendre le dessus chez lui, d’avantage quand les hommes n’en fit qu’à leur tête et s’approchèrent de nouveau. Malgré l’avertissement, ils ne firent qu’empirer les choses puisque le combat s’entama vivement. Les survivants qui restèrent dure répondre à divers questions du jeune Shige qui, après en avoir eut fini avec eux les laissa aux policier qui venait d’entrer. Aucune plainte ne fut porter contre le jeune homme et les policiers prirent cela comme « Légitime défense » ce qui était en réalité, le cas. Le retour de Kazushi fut des plus attentions et probablement la plus mouvementés. Quand l’homme pris conscience qu’il venait de mettre sa famille en danger et que c’était son fils ainé qui avait défendu l’honneur de la famille, ils prirent donc tous la décision de quitter ce quartier pour un nouveau. Malheureusement avec les études de Shigeki, celui-ci du rester dans le même quartier le temps de terminer ses études afin d’être ce dont il avait toujours rêver d’être ; Un professeur d’histoire. C’est donc Aikyo, Aki et Kazushi qui déménagèrent en premier, laissant le jeune homme seul. Bien sur, Kazu pris son fils sous son ailes l’aidant afin qu’il trouve de l’argent pour ses études. Aki lui, trouva la séparation avec son frère difficile, eux qui furent toujours ensemble depuis tout petit, devait maintenant se dire au revoir pendant un temps. C’est donc avec le cœur gros qu’Aki du se rendre à l’évidence, pendant un certain temps il allait devoir se débrouiller lui-même. Chose qui n’était pas vraiment difficile à faire puisqu’il était déjà très débrouillard, mais de dire au revoir à certains copains & copines pour prendre un nouveau départ ailleurs semblaient crève cœur pour lui. Une chose de bien par contre, il ne verrait plus certaines personnes qui fut des plaies ouverte pour le garçon. Et d’ailleurs, l’idée de se rendre dans une nouvelle école lui semblait beaucoup plus intéressante que de poursuivre là ou des jeunes n’en avaient rien a foutre en faites des autres. Seasides College avait une réputation d’école trop riche et parfois trop pauvre, alors l’idée n’était pas bête, de plus son père lui avait promis que jamais personne ne les retrouverais ici et que si jamais cela serait le cas, une personne qu’il connait très bien viendrait de toute façon s’assurer de sa sécurité. Aki ferma les yeux sur les questions qui lui brulait les lèvres et accepta, après tout, l’école semblait sympa et les gens également. Dès son arrivés à l’école… Le jeune homme y trouva de bonnes amies, Pumpkin sa meilleure amie, Mimei une douce personne, Eiko une « maman » à l’épreuve de tout, mais surtout il y trouva Allan, un garçon un peu comme lui et … Tyren. L’histoire ne sera pas décrite ici, mais une chose était certaines dès le départ dans la tête d’Aki ; Jamais il n’aurait cru trouver le coup de foudre en allant là-bas, ce qui n’était totalement et aucunement prévu. Maintenant, reste a savoir comment tout ceci se déroulera avec les mois à venir … ♥ IRL. Ω SURNOM : Aki - Chaton. Ω COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM : *Tire la langue et boude* Ω CODE DU RÈGLEMENT : Work Hard èé Ω TON AVATAR : Kanda Yu - D gray man Ω AUTRE REMARQUE : T'es pas drôle Tyren >< |
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